RENCONTRE DES TIGRES DE L'OTAN 2024: DIFFICILE D'ÊTRE HUMBLE

Il y avait une soixantaine d'avions qui venaient de 3 à l' 13 En juin, ils se sont rencontrés à l'aéroport du Schleswig, à l'extrême nord de l'Allemagne, pour célébrer le Tiger Meet 2024.

L'Aeroporto fait normalement partie de l'escadron tactique de la Force aérienne. 51 – 1er Escadron de la Luftwaffe allemande, équipé de Tornado IDS et ECR.

Nous vous rappelons que le Tiger Meet est un événement qui se répète depuis 1960 et rassemble dans un seul aéroport tous les départements de l'OTAN qui ont un « tigre » dans leur emblème.

L'événement a eu lieu l'année dernière, En octobre, sur l'aéroport italien de Gioia del Colle, et cela avait été caractérisé par des conditions météorologiques splendides. Malheureusement cette année, la météo était mauvaise, et ciel couvert, températures basses et averses de pluie ont accompagné les plusieurs milliers de passionnés qui ont longtemps rempli la salle 2 jours de spotter day et les clôtures de l'aéroport les jours restants.

Cette année les participants du Tiger Meet présents à l'aéroport venaient de 14 différents départements et représentés 9 pays:

Ils ont participé à des opérations aériennes, mais ils n'étaient pas présents au Schleswig, également les départements suivants:

Aussi, bien qu'il ne fasse pas partie des participants "officiels" du Tiger Meet, des avions des départements suivants étaient présents au Schleswig:

Comme d'habitude, l'activité quotidienne a été organisée avec 2 vague, un le matin et un l'après-midi. Dans les deux cas, les méthodes étaient similaires: les premiers à prendre leur envol furent les GFD Learjets (Société pour l'affichage des cibles de vol mbH). Dans l'édition de cette année, les Lears étaient 2, les deux dans la même configuration avec 2 Pod subalari pour le radar de brouillage.  Ces brouilleurs multifréquences sont basés sur la technologie DRFM (DRFM = Mémoire de radiofréquence numérique) et peut simuler des attaques de brouillage électronique, avec l'aide duquel il est possible de développer, par exemple, processus pour protéger les avions contre les attaques de missiles guidés par radar. En outre, les opérateurs de radars de défense aérienne peuvent s'entraîner à lutter contre de telles attaques de brouillage afin de maintenir le fonctionnement des systèmes de défense aérienne malgré les contre-mesures électroniques. (MEC).
Puis ils sont partis, toujours un à la fois, les combattants des différentes nations. Considérant qu'ils volaient, à chaque fois, une quarantaine d'avions, le temps requis pour l'ensemble de l'opération était considérable. À la fin, Il n'y avait jamais beaucoup de temps entre le dernier à voler et le premier à atterrir. Les débarquements, comment ils ont ouvert, ils ont été fermés par des Learjets.

Pareil l'après midi.

Par rapport à l'édition 2023 les départements portugais n'étaient pas présents, Hongrie, Belgique, Autriche e, pour l'Italie, le 21ème Groupe manquait. Il manquait également les Mirages 2000 de Mont de Marsan présent à Gioia del Colle. Par ailleurs, la Flotille 11F de la Marine Nationale était présente sur les Rafale M et les F 35A Lightning II de la 313 Escadron de la Royal Dutch Air Force.

Comme d'habitude, la curiosité des passionnés présents a été attirée par les avions Special Color apportés par les différents départements.. Finalement, le trophée du plus bel avion a été remporté par l'hôte Tornado..

L'organisation de l'événement était redoutable en termes de logistique: Il est possible de s'inscrire aux journées spotter depuis février. L'enregistrement, au tarif de 40 € par jour, a donné le droit d'entrée, ad alcuni gadgets (Sac à dos, bonnet, Patch PVC de l'événement), au déjeuner avec boisson, pour le transport et l'accès à la zone de repérage, y compris le marché des gadgets). Le tout parfaitement organisé dans le pur esprit teutonique.
C'est dommage que la zone des spotters soit vraiment limitée en longueur vers la piste et donc l'espace disponible au premier rang n'était pas suffisant pour tout le monde. Aussi, bien qu'il soit indiqué dans le règlement que cela ne serait pas possible, l'entrée et l'utilisation d'escaliers très hauts étaient autorisées (Même plus loin 2 mont.!!!) que, surtout le premier jour, ils étaient positionnés immédiatement à côté de la première rangée. Ainsi les photographes qui n'ont pas trouvé de place au premier rang, ils se retrouvaient souvent la tête (et parfois même le torse) d'un photographe perché dans les escaliers au milieu du cadre.

Si l'on ajoute à cela que les déplacements se sont déroulés depuis la piste 23 qui était légèrement de travers par rapport à notre position (juste à côté de la piste 07/25) mais surtout derrière une colline sur laquelle poussait de l'herbe non coupée, nous nous retrouverions dans une situation où nous ne pourrions pas photographier les décollages tant que les avions ne sont pas en l'air, alors que les atterrissages étaient simplement un avion dérivant sur l'herbe, avec le fuselage complètement invisible sauf dans la dernière partie du roulage: Je ne te dirai pas de gros mots...

Les avions décollaient très simplement, parfois rester bas, quelques autres fois en grimpant très vite mais sans tourner comme c'était la règle l'année dernière à Gioia del Colle (vous pouvez trouver des photos de l'année dernière qui), qui a favorisé la prise de vue d'images spectaculaires, aussi grâce aux conditions météorologiques spectaculaires qui ont définitivement manqué cette année.

Malheureusement ces défauts ont assombri l'organisation logistique qui, comme déjà mentionné, c'était superbe.

La nomination de 2025 ce sera à Beja, au Portugal, maison de l'Esq. 301.
Compte tenu de la latitude, Nous sommes confiants dans des conditions météorologiques beaucoup plus favorables.

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